Vous m’avez détruit par un sadisme jamais vu de par l’histoire, en offrant à la bête la plus abjecte de l’histoire les mérites qui me sont dus. Tout ce qu’il dit, c’est ce qu’il n’est pas, il est le mal radical, et le mal que vous avez commis envers moi dépasse encore les atrocités commises par la barbarie nazie. Un tel mal se paiera d’une manière ou d’un autre. Sachez bien que je n’exagère pas quand je fais des références à cette période. Le mal que vous avez commis envers moi dépasse l’entendement et me conduira à la mort où je suis déjà à moitié par l’atrocité sans limites et démesurée que vous avez commise. Vous avez détruit mon système nerveux, commis des actes d’une barbarie et d’une torture psychologique envers une personne faible, démunie et pure, d’une abjection impensable. Vos actes sont ceux de l’extermination. Je sais tout de ce que vous avez fait, je sais tout de votre haine et du diabolisme abject et impensable qui a été le vôtre. Je connais mon géniteur, soyez en certain, je sais qui il est. Il est trop tard maintenant, ma vie est détruite, je n’aurais pas la force de faire un procès. L’atrocité que vous avez commise envers moi m’aura détruit, cette atrocité, cette erreur fondamentale et démesurée que vous avez faite, oui, elle m’a détruit en profondeur, jusqu’à mon noyau le plus central, jusqu’au fondement de moi-même. L’atrocité que vous avez commise est un acte d’extermination d’une personne. Florian, Florian, l’impensable, jamais vu depuis la barbarie nazie a eu lieu sur toi. Croyez moi, croyez moi, la seule chose que je peux vous dire, c’est que vous vous êtes trompés.