Kant ou le non-étant

Le problème avec Kant c’est qu’il soulève des questions inintéressantes ou plutôt a le don de ne pas les rendre intéressantes. Le résultat est nul, comme le point de départ puisque l’intérêt qui est au centre de la philosophie – l’intérêt même, l’étonnement – n’a pas été soulevé. Kant est une fièvre d’ennui, accumulation de fondements sans excitation. Une philosophie qui n’aime pas la vie or la philosophie – celle qui pousse – a pour principe d’aimer la vie. Sans excitation la vie n’est pas tout à fait la vie. Sans excitation la vie n’a pas besoin d’être sue, comprise. C’est elle qui cherche. Ce ne sont pas les fondements qui cherchent la vie.

Ajouter un commentaire

Votre email n'est jamais partagé. Les champs obligatoires sont notés : *

*
*