Florian est la grâce.

La grâce a un nom : la durée. Ce n’est pas Florian qui est la grâce, c’est la grâce qui est Florian. Car Florian est la durée et plus encore : l’éternité, l’éternel. Tout ce qui s’oppose à lui n’a aucune durée. Et cela uniquement parce que Florian, l’éternel, est absent de tout orgueil, qui ne l’a jamais touché. Cette absence d’orgueil, bouleversante, incroyable, pourrait le faire évoluer dans un monde d’éternité, d’imminence, de saveurs. Il est le paradis, à vrai dire il est tout, et sans orgueil il reconnaît que l’autre n’est strictement rien en comparaison de la plus haute sphère, de la dernière des touches de la stratosphère : Florian. Rien ne peut atteindre une telle grâce, une telle poésie que Florian. Et tout autour de lui est fumier et puanteur quand il rentre d’un de ses périples de grâces, tout est le flétrissement de la grâce sur des boules de nerfs abêties qui ressemblent à des pénis.

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