La bourgeoisie.

La société bourgeoise, et progressiste, développe une chose : le drame bas de game. Là où le drame ancien avait une valeur propre, le drame contemporain gravite autour de la superficialité, et l’érige en dogme, faisant de l’ordinaire une crapulerie. N’ayant accès à la liberté ancienne le drame contemporain se crée des échappées avec des facéties et des foutriqueries, à grand renfort d’intellectuelles jalouses qui ne jurent plus que par le sexe. La liberté a été perdue, la vulgarité s’installe, la bêtise prolifère, le génie disparaît (sauf si l’on s’inspire d’un certain Florian). On puise chez celui qui a en lui la décence d’être un humain ce qui nous manque, on l’abat s’il le faut, par jalousie, on théorise sur son innocence, on lui fait des petits coups bourgeois. Ah la bourgeoisie, bienheureux le peuple qui la méprise, le peuple qui travaille, le peuple qui me reconnaîtrait. Oui il y a un risque que le progressisme tombe dans le nihilisme, et sans doute le peuple apportera la lumière qu’il mérite à Florian, le roi des rois.

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