Un soir.

Un soir la liberté chantait dans une bouteille
Mon bel ami Florian, parfois le monde n’a rien de cruel
Les lobes de ton imagination sont des ruelles
Où les anges tes amis te récitent des merveilles
Tu y es chez toi, accompagné de belles histoires
Elles fusionnent en toi, et tu es seul
Parmi la multitude réelle
Parmi le monde qui te voit, parmi une première fois
Les offenses tu en feras une certaine loi
Juste et profitable, ceux qui ne t’ont pas compris
Oublie un peu cela, tu es heureux d’avoir réussi
Et quelque chose veille sur toi
As tu peur de mourir quelques fois
As tu bien dormi, espère encore
Que le monde pense à toi.

Ajouter un commentaire

Votre email n'est jamais partagé. Les champs obligatoires sont notés : *

*
*