La violence.

Une telle violence, consciencieuse, du traitement qui m’a été fait, et vous savez duquel je parle, une telle violence organisée, cynique, lorsque je ne savais pas même encore l’ampleur de ma célébrité. Un tel traitement, qu’on ne ferait pas même à un chien, comment voudriez qu’il puisse aboutir à un renouveau ? Vous m’auriez compris et m’auriez fait ce traitement ? Ce n’est pas possible, comment allez vous l’appliquer à l’avenir ? Non vous n’avez rien de moi, du moins vous n’avez pas capturé ce que vous voulez, et vous ne le reproduirez pas. C’est simple : vous l’avez tué. Peut-être qu’il réapparaîtra un jour, chez une autre personne, mais pas celle qui sera attendue. Puisse le ciel lui épargner tout ce que j’ai vécu.

Florian

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