Le silence.

La violence et le cynisme du traitement que vous m’avez fait, la malhonnêteté de vos excuses, la joie dans la destruction que vous avez eu à mon égard, tout cela ne pourra pas faire de nous des frères et sœurs selon tout bon sens. Vous l’avez choisi sciemment et n’avez pas la moindre excuse à votre comportement ni le moindre pardon à recevoir de ma part. Vous vouliez me blesser bien évidement, m amoindrir, pour des raisons vilaines. Et vous avez choisi la facilité, tous ensemble, contre la loi, contre moi, vous avez pris plaisir à détruire un enfant affaibli et malade. Vous pensez que nous pourrions être ami ? Je n’ai plus aucun espoir, c’est ce que vous vouliez ? Parmi ce déferlement de violence que vous avez exercé sur moi tout en commercialisant légalement des œuvres à ce sujet et parfois en versant une larme pour moi. L’inhumanité de votre traitement qui est votre œuvre et votre commerce, qui pourra bien un jour la repérarer, qui pourra réparer le corps et l’âme de Florian que vous avez achevé de massacrer dans le silence, dans un silence de mort.

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