Les personnes qui ont peu de sentiments, surtout des femmes, ne peuvent pas se représenter la fragilité et l’ouverture d’un auteur quand il écrit des mots, y compris et surtout quand ils sont de l’ordre de la negativite. Leur faible représentation mentale, miroir d’elles-mêmes, ne peut pas représenter autre chose qu’un pannel réduit de sentiments et d’attitudes. Il y a peu de complexité en elles, et peu de nuances. Cette faible représentation que l’on remarque plus souvent chez la femme fait d’elle une potiche. Son ignorance la pousse à suivre des mots et des expressions réduites qu’elle nomme simplicité.