Le miroir.

Je suis bien le miroir devant lequel on se voit et on réagit. Je ne provoque rien, je ne charme pas, je reflète. Toutes sortes de réactions sont possibles, des bonnes comme des mauvaises, des très bonnes comme des très mauvaises. Je n’y puis strictement rien si je suis né miroir.

J’ai une belle gueule dans ma salle de bain et une salle gueule dans les vitres des voitures. C’est comme cela vous savez. Mais revenons-en à notre point initial. Je n’agis pas, je mire, je reflète. Vous agissez, et parfois, comme vous l’avez compris avec le texte du dessous, très, mais très, très mal. Et comme indiqué dans la phrase du dessous, qui commence à se réaliser aussi, le public jugera votre comportement.

Et en effet ce ne sont pas là des manières de se comporter, mais comme toujours, la véritable justice et le véritable jugement reviendront. Et si je suis certain que mon bon Dieu d’honneur sera réparé, je suis également certain que les crimes qui ont eu lieu ne seront pas effacés. J’aurais aimé penser qu’une civilisation sur l’honneur ne laisse pas faire n’importe quoi aux jeunes gens.

Mais vous voyez ce travers, de votre faux dieu, dont le comportement est l’inverse de ce qui est préconisé, ainsi que la nature de la personne et absolument tout ce qu’il dit. Et vous continuez à vous fourvoyer dans le mensonge et toujours en raison du miroir que je suis.

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