Je ne sais pas ce que j’ai, je semble totalement dérangé, je comprends après ce qui se passe, bien souvent, il y a un décalage, avec le cours du réel. C’était dans ma nature d’être décalé, pour fuir une situation, et cela a eu tendance à se confronter à de nombreuses situations réelles.
Mais il n’y a pas que cela, il y a d’autre choses encore, j’ai perçu le cœur de la réalité, floral et végétal, le cœur de la ville, de la terre, de la stratosphère, j’ai vu sans parfois me défendre comme il était intense et savoureux, j’ai perçu des cœurs en latence, je les ai éprouvés, j’ai pu en reproduire des merveilles.
Je voulais tant les partager avec d’autres gens mais cela me fut impossible. Ma douleur m’a orienté vers tant de formes d’appréciation de la réalité. Je suis devenu plastique et caméléon, ou bien rigide, ou bien une épave en ce monde. Le réel m’a corrigé. De singuliers événements sont apparus.
Vous ne pourrez jamais construire un monde sur le cœur de la réalité, c’est une épreuve bien trop terrible.