Toute poésie a des attributs sexuels latents et métaphoriques, même si bien sûr on peut interpréter autant que l’on veut et selon son optique. Les violer serait serait la pire offense faite au poète, la plus basse des ignominies. Ce serait être une merde de SDF oxydée dans un caniveau, puant à en mourir de nausée, face à l’éternité et la majesté du poète. Vous verriez alors ce que vous seriez face à moi. Pensez-y bien, car je ne vous reconnaitrai en rien. On ne parlera même pas de vous dans les astérisques de ma biographie. A vous de voir.

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