PAYS
Est-il un seul jour où tu puisses te parfaire
Tu es entrée dans la caserne à facettes
Il miroite des temps pluvieux et sains
Dans l’armoire qui touche le pays
Rien ne me déplait autant que l’ordre
Qui succède au sentiment d’une victoire
Je suis dans la mésange où se meut une allégorie
Elle tombe sur le monde, elle éclaire
Comme des sceptres épris
VALEUR
Je suis la cornée et le chemin appris
Dans l’élément de l’ozone qui me succède
Dans les membres d’un animal qui m’embrasse
Je ne suis jamais que le prés épris des saluts
La touche qui nargue toute valeur
Le présent qui jamais ne me fuit
Je suis la ville dans ses pierres et son réduit
La succession de pierres dans un abri
Rien ne m’agresse que de mauvais gens