Les alpages.

Une femme que je pensais être une cohorte de loups était en fait un ruissellement de vagues dans une ménagerie. Elle était un poulailler qui lançait des gerbes aux orties, une main pendante et un tertre qui oblitérait des rapaces. Elle avalait des figures géométriques dans un ciel qui vaporisait des enclumes. Tandis qu’elle lavait des peignes avec la grâce d’une moutonne, des éperveries épelaient des ondes sismiques aux mandarines qui creusaient de larges canaux dans des espaces reliés par du mazout. Des cordelettes grinçaient dans des verres ignifuges et des prairies odorantes. Des matériaux divers, tel que le cuivre, dominaient des alpages dans des cils qui s’évanouissaient. Des morues salées sautaient, bien que mortes, dans des paniers d’œufs que des branches avaient guéri des microbes et des oreillons. Huit décibels chantaient dans l’aurore d’une montagne, qui dévalait la course des piments, des acrobates et des jongleurs de corniches, dans le vent et le visage d’un pois, d’une sauterelle et d’un panier de lentilles.

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