Si seulement le monde m’avait accepté, si ce monde comme il va n’avait cessé d’accepter l’autonome Florian, avant de sombrer dans l’individualisme, les clans de toutes sortes. Si ce monde était resté le même, préparant son dîner à Florian au bord des routes.
Si Florian était resté lui-même, avant d’être éclaté de toutes parts et disséminé de toutes parts, si seulement on m’avait cru ! Ah certains croient en moi oui, d’autres se réfugient dans des facilités. Dites qu’aurait été le monde s’il était resté au stade de l’insouciance ?
Voyez les rivières peut être le permettent encore. Mais tout est revisité… Les rivières peut être. Des hommes et des femmes racontent de drôles d’histoires. Des passants tout juste semblent parfois me comprendre. Par affection ou par pitié, mais je l’accepte.
Florian reste le souverain.