L’ombre et la lumière.

Vous m’avez lésé, au lieu de m’aimer, c’est incontestable, vous m’avez lésé, et blessé, vous m’avez violenté, vous avez fait cela à un poète fragilisé, vous avez cherché le moyen de le violenter, de l’agresser, au plus intime de lui-même.

Voilà un comportement typique, parfois de femmes de gauches pacifistes, qui se font avoir par des manipulateurs violents, insensibles à la douleur des autres, comme la maîtresse de Goebels dans Inglorious Basterds.

Vous avez violenté le poète et le joyau, vous l’avez humilié, vous avez profité des fruits de son jardin-les vrais- pour proliférer autour de lui, le léser, le blesser et le malmener, plus à gauche qu’à droite, avec toujours l’idée de ce même bénéfice.

Vous raliez le camp de la fausse pensée et du faux savoir et agissez dans l’ombre, comme toujours, vous ne savez voir où est la lumière, et le magnifique jeu de l’ombre, car la lumière de Florian est tellement puissante qu’elle vous éblouit, et vous fait battre en retraite.

Je suis trop moderne pour vous.

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