Oh mes belles églises et mes belles toitures, peut-être êtes vous seules à ne pas le savoir : le bien n’existe, mais seulement le mal. Le mal oui, qui s’amplifie sans cesse. Seulement le mal, et on soumettra toujours le peu de bien au mal. Vous êtes de belles églises aux tuiles vernissées, pourpres et d’or, vous êtes encore dans les villes un certain symbole, mais savez vous bien que le bien n’existe ? Cette image seulement de la souvenance qu’il y aurait eu un bien, s’en souvient-elle, que cherche t-elle ? Que cherche cette belle idée, chez certains mauvaise, tellement mauvaise, même dans vos sacristies, qu’il y aurait eu un bien ? Le poète peut-être, Florian mais voyez donc : on bâtit des églises pour le Saint, parce que le mal a triomphé. Seule la crucifixion triomphe.