Une certaine idée de l’humanisme (un texte polémique oui oui)

L’homme n’était plus un animal du fait de la croissance de son cerveau. L’humanisme a souvent été le signe d’une défaite sur ce point. Si on regarde bien, la transformation qu’il voulait niait cette particularité qu’il avait d’être entier et profond.

Il est souvent basé sur le refus du génie, sur la nécessité du travail. Le poète ou l’artiste ne s’en souciaient pas, ils étaient géniaux. L’humanisme a souvent pris le parti du soucis, de la défaite de l’homme, la défaite du vivant.

Les structures politiques n’avaient pas besoin de ce que l’on indique qu’il faille absolument être humain avant que l’on se rende compte qu’elles se soient encore comportées comme tout le monde.

L’humanisme a t-il peur de l’homme, ou peur de soi, peur de sa méchanceté ? Transformer l’homme n’est ce pas le risque d’encourir d’autres dangers ? L’homme n’est pas toujours la bête tapie, c’est souvent l’humain.

Et la femme dans tout ça tiens ?

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