Pourquoi le pn passe son temps à se justifier pour se mettre en valeur ?

Une seule chose compte pour le pn : lui même. Il est la négation du corps, et le culte de l’égo. Laid et nauséabond, il fait passer des vessies pour des lanternes. Anti rêveur et antipoétique, une seule chose compte : faire passer son égo.

Ce couillon qui rit à ses forfaits comme un ministre de la défense, ce couillon n’œuvre que pour lui, jamais pour l’universel. L’universel est son alibi, sa carte de visite. Son faux calme a pour but d’inverser la personnalité de sa victime et de profiter de tout ce qu’elle est et de ce qu’il n’est pas.

Il est l’inverse de ce qu’il voudrait être, et planifie son inversion, en pompant la pureté de sa victime qu’il a eu par hasard et qui l’a éduqué.

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