Le chardinier.

C’est une baudruche et un homme totalement faux et destructeur, un vieux crispé et un éternel benêt, qui profite des situations pour semer le viol. Sa sincérité est triste et morne, il n’a aucune sensibilité mais en est au point mort de tout, agissant pour nuire et semer son éternelle colère, son éternel égo qui ne se tarira jamais. Ce pou effrenné dont le fantasme est le viol de la jeune fille, dont il est tout l’inverse, sème un tableau de désolation et d’horreur. Il pourrait découper la tête d’un nourrisson sous la table pendant qu’il ferait un petit sourire faux et hideux, afin d’obtenir les faveurs d’une jeune fille qui sourirait parmi la scène la plus abjecte au monde. Tout est faux, puant, violent et crotté. Les jeunes filles qui n’ont pas la moindre réceptivité au mal, voit cet âne puant comme une source d’amour et de rire. Mais Terminator qui toujours n’agit que pour son intérêt, viole et vient apporter la douceur la plus fausse de l’histoire de l’humanité.

Il a attendu 70 ans comme une tique sur son arbre, avant de revenir en vieux crouton plaisant aux jeunes filles, en ancien tortionnaire dont il a exercé le métier toute sa vie, d’acariâtre laid et complexé par sa petite taille, avant de jubiler de sa frustration illimitée pour faire le coup ultime, le viol qui tombe sous le coup de l’entendement, l’erreur 404. Ce terroriste, qui est né dans le terrorisme de guerre qui ne l’a jamais quitté, est devenu le terroriste mental et psychologique le plus chevronné de l’histoire, s’attaquant aux jeune filles qui n’ont pas conscience du mal, et visant le paradis dans l’enfer puant d’un charnier.

Je me souviens encore de ce tortionnaire acariâtre et hideux, jaloux comme un pou de tout, sénile comme une autruche dans le musée des horreurs, venant m’apporter de la voix la plus fausse au monde, la plus fosse (je garde la lapsus informatique) qui soit, jusqu’à détacher les nerfs du cerveau, une corbeille de fruit dont il est tout ce qu’il y a de plus éloigné. Les jardin, les fleurs, les fruits, ce sont la prison mentale de cette baudruche insensible, dont les nerfs de la sensibilité ont été sectionnés dès le jeune âge avant qu’il ne devienne un éternel pervers narcissique (cela se voit sur une IRM). Mais pour les jeunes filles qui n’ont aucune conscience du mal, ce pou passe pour un être charmant.

Il est la fausseté, car ses nerfs de la sensibilité sont sectionnés dans le lobe préfrontal et visibles sur une IRM peuvent lui faire occasionner tous les pires sévices au monde sans qu’il éprouve la moindre émotion. Il pourrait trancher l’aorte de trois nourrissons pour obtenir les faveurs d’une jeune fille qui n’a aucune réceptivité au mal ni à ce que je dis qui la ferait peut-être rire.

Il m’avait dit une fois aussi, alors que je prenais le train et qu’il était retardé parce qu’une personne était sur les voies, il avait dit de la même manière totalement insensible, qui NE PEUT PAS être sensible : « Ah ! quelqu’un s’est suicidé, on va passer un coup de jet d’eau et hop ! » avec ce même petit sourire que quand il apporte une corbeille de fruits (et cela ne s’explique pas par l’âge).

Son bonheur, abject, repose sur la destruction de la pureté, ou par le viol, ou par la destruction de l’entité pure que je suis, afin de violer doublement et d’accomplir son destin. Ses propos thérapeutiques qu’il prêche sont le plus grand mensonge de l’histoire. Tout est angoisse, tout est terreur, et pour lever cela il faut violer. La hideur, le mal, le mensonge. La terreur, la terreur !

(Le seuil a dorénavant été franchi, et je n’aurais plus honte à défendre mon espace vital et mon honneur)

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