De liberté d’être soi.

Pour parler plus légèrement, on ne réconcilie pas l’irréconciliable, ce désir là est mauvais, quand bien même il pourrait avoir de bonnes intentions, voire être estimé nécessaire à l’amour pour une personne. On doit l’accepter comme elle et sachant que c’est cela qui nous la fait aimer. Ce désir de tout arranger, de tout rendre parfait, on voit où il mène, encore une croyance héritée d’un ancien temps, cette affaire de perfectibilité qui semble marquer un lien entre un certain progressisme et la croyance religieuse. Selon moi l’individu doit être libre et respectable, et les croyances ancestrales ne touchent pas à l’essence d’une personne.

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