MAL-ÊTRE
Elle te succède toujours, quand tu pars
Dériver sur le flanc du mal être
Un hêtre s’éprend de toi
Tu souffres affreusement de ce salpêtre
Qui touche à tes lèvres comme les guêtres
Mortes de ta vie entière
Tu touches le surplus qui s’entache à tes lèvres
Tu envenimes la toison superflue
Des femmes qui te portent à ton terme