LE BONHEUR

Des âmes aimantes qui errent
Parfois grandissent dans le salpêtre
Et explosent à la gueule de Dieu

Car je l’ai radié si bien du bonheur
Que des souricières de plaisirs autres
Ont levé sa main et sa vengeance

J’ai radié les dieux qui persévéraient
J’ai emporté des ustensiles notoires
Ce sont eux mes dieux à présent

L’espérance est plus radieuse parfois
La bouillie et l’outrance, les piquants
Amollissent et créent des espaces

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