C’est un ami de l’époque, qui m’a incité plus ou moins directement à écrire de la poésie. Lui y arrivait bien plus facilement que moi à ses débuts. Nous étions dans la même classe quand nous avons découvert Les Fleurs du mal. C’était vraiment à la suite de cette première découverte nous avons écrit. Ce n’est pas venu d’ailleurs. Biologiquement cela vient plutôt de ma mère qui a assez d’aisance à lire de la poésie. Pour le reste ce sont des rencontres avec des auteurs spécifiques, et une tendance universelle à écrire de la poésie.