L’existentialisme est une erreur de jugement, un défaut d’appréciation, le moi y est tellement ridiculement réduit que l’autre a toute son importance. Cette singerie du vivant proprement aphantaisiste et bancale amène a toutes sortes d’aberrations philosophiques ramenées au comportement. C’est comme si on enlevait quelques lobes cérébraux pour pouvoir exercer pleinement et librement la consécration du moi limité aux autres. Quoi de plus bête que de donner de l’importance à ce qui n’est pas naturel, à ce qui est nul en raison de la vie biologique ?