Mon père ne m’a rien transmis malgré cette terminologie médicale qu’on utilise pour les virus. Mon rêve et ma fuite étaient le produit de moi-même que j’ai utilisé pour être libre dans mon espace personnel qui était toléré car vous savez, on ne sait jamais à quoi rêvent les enfants. La transmission… Tu parles. J’ai fui la violence et la nullité pour la douceur et la richesse. Qu’on ne vienne pas récupérer mon talent pour se faire valoir et obtenir des faveurs. Ce truc là est en train de me tuer.

Qu’est-ce que c’est que cette histoire : mes soucis sont les suivants. D’abord j’ai eu des angoisses très fortes dès ma petite enfance face à une situation que je percevais sans le savoir. Ensuite j’ai eu des troubles obsessionnels compulsifs dans ma préadolescence tandis que je me faisais massacrer parce ce que je devenais sexué et que l’entreprise de castration devait prendre son essor. Ensuite j’ai eu des questionnements infernaux qui par définition n’ont pas de raison d’être face à des questions qui m’ont bouffé la vie sur la vérité et la morale. Et pendant ce temps là je me faisais massacrer encore et encore sur des idées d’harmonies destructrices que je devais comprendre alors que c’était le chaos absolu qu’on tentait de me transmettre.

J’ai toujours ressuscité par moi-même et grâce à mon intelligence propre. Qu’est-ce que c’est que ces conneries ?

N’écoutez pas les pervers narcissiques. Vous êtes en train de m’achever et de détruire tout mon travail de résilience.

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