L’ombre.

Tu nages en plein délire
Tu vois, mais le délire c’est vrai
Tu vas procéder de la pénombre où l’aileron
Est la douceur qui succombe
La succession de plats préparés pour toi
Dans l’ombre

Mais seul désir qui n’est plus succède
Aux communions des corps
Quand l’entente est si sure que les ombres
Aussi pénètrent ensemble le corps

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