La forêt

Cette forêt méditerranéenne que j’ai parcoure était si superbe
Le vert chêne flambe un peu et il est gris
Quand on le voit sous la masse planétaire
Son lit est fait de si fines dorsales
On nage dans la verte clairière
Mais l’ivresse est âcre et semble
Devenir la nacre de ces orées
Et la transparence du filet dont on ne sait plus
S’il a été si fin, et si bien ténu
Qu’on le laisse à sa portée.

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