Une nuit.
Le cyprès meurt lorsqu’il n’y a plus de panneaux la nuit
Il est le grand avènement
On perd souvent ce qui nous avait construit
Il reste des filaments et une certaine acidité
La nuit ne peut pas nous prendre entièrement
Mais le souvenir se disjoint sur des fentes réelles
Des anfractuosités dans les touffes de branches
Le seul terme est dans la nuit profonde
Dans l’alchimie des échantillons