Sommeil.
Je dors, je dors sur Neptune
Il y a une épice dans le sommeil
Il y a un tremblement narquois
Je tremble comme un héliodrome
Ça n’existe pas mais je me réfère
A ce qui n’a jamais existé
En bordure des villes
Et que l’on voit des fois
Trembler comme des hélices ou des pâles
Cela chante un sommeil qui se soumet
A l’alcool et aux substances
Divines et narquoises