Scolarisation.

Le lierre des chats m’avait enveloppé le jour
De l’aurore où je fuyais mes camarades
J’étais seul dans les allées où j’attendais
Tout en invectivant les chats et les demoiselles
De ne pas avoir assez fait pour moi

On m’avait laissé seul dans un sac et une ortie seulement
M’avait offert le diamant qui scellerait mon ivresse
Et partirait dans les lignes des stades écouler la tendresse
Ainsi je n’ai pu manger que lorsque les simagrées
Des prêtres de mon école cessèrent

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