Le palais Lichtenstein dans le IXe arrondissement de Vienne (Gerstl)

Ah oui, c’était là, c’était si beau
Vraiment cet air du soir a marqué mes naseaux
C’était un si beau samedi quand tout se vit
Que j’avais rencontré ce panorama et cette image
Ce n’était rien que des pierres et des métaux
Mais il y avait un grain de sucre quelque part
Je n’avais plus en moi de ces aiguilles ou de ces blocs
Bien que le décor solide soulevât presque le sol
Et que les assises ne dérangent plus personne
On marche ensemble sur un monde qui tremble
Cela explique comme les aspérités sont irrégulières
Mais les découpes touchent le sucre du ciel
Et ne peuvent jamais étrangler aucun sentiment

Il se libère plus loin que le palais qui m’enchante
Dans l’immeuble derrière qui lui est violet
Et bien plus beau, et bien plus tendre
Car il existe en lui une mémoire


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