Une forêt

Elle a le gout parfait d’une brique
Posée dans la nature
Construite et sanglante
Elle est si verte qu’aucun de ces animaux
N’est entré dans le puits
Et dans l’indomptée ménagerie

Ile idéale et parfaite saveur
De l’incertain propice au délire
Car le délire et la raison ont la même racine
Il n’y a pas de cylindre
Mais j’ai vu de parfaits chemins
Qui invectivaient lentement ma réminiscence

Je ne vais pas déblatérer
Mais on peut boire et manger tranquillement
Dans les cylindre que je n’ai pas vus
(Par contre j’ai vu un silo)

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