Lying crystal

Ton odeur était une ferraille ocre
Une pure ferraille qui tremblait dans les anciennes roues qui avaient roulées
Elle n’avait pas de son et était muette
Mais toi tu devisais dessus et c’était la pure vie comme une flamme de sucre
Qui dansait dans cet élément de l’air et se savourait
Quand les repas des dieux étaient prêts

On se prenait à l’envie dans le tendon de l’espace et la crête du coq
Nul n’a jamais vraiment était pareil qu’une gelée de vague
Siamoise et si transparente que la gélatine baille

Tu avais les mêmes artifices que ces dieux antiques
Dans ta bouche tremblante et ferme les formes étaient des étuis
Où mijotaient ces repas sans une seule nourriture
La matière était scellée dans ce cuivre
Et le poids dans le vivre

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