Vérité.
Tu es seul tant et si bien que le noir est tout
Tu vois ces emphases de printemps
Ce sont des spores qui aiment la tragédie
Et toutes les époques réunies
Tu es une ère qui touche et sublime
Dans tes mains est le magazine
Et toute l’élucubration du monde
C’est vrai qu’il n’y a qu’une seule seconde