L’inconnu.
Tu montes au ciel et dans le canyon
La goutte perle mais on ne peut jamais
Parler de l’humidité et de ce qui dévale
On ne parvient jamais au terme du corridor
On ne parle pas de celui qui monte il est
Ahuri par une multitude de passages
Il est vêtu d’un manteau et souvent
On tient ce qui le pose sur terre
Mais il monte et ses bras semblent accrocher
Des nues et des chaines de semblances
Fleurs et liens invisibles qui longent
Les transes et les parcours
Le cœur qui monte.