L’oeil du cyclone.

Tu admires ce qui est plein et soigné
Et respires la santé si seule parfois qu’elle accompagne
Les pensées étalées en d’autres places
Elles se régulent dans le monde de l’inconscient
Inconscience marine.

Ce qui te constitues tue la route
Tu n’es plus dans ce qui avait fait jusqu’alors
La bureaucratie des événements.
La sensation seule est dans la connaissance parfaite
De l’émotion sensible. Il scintille des événements.

Il se règle d‘anciennes devises
Sur le goudron et le marbre de l’esprit
Des légères peintures, ornent la nature
Et sout semble figé et pur dans la périphérie
D’autres gens sont soumis
Aussi à cette aspérité

Ajouter un commentaire

Votre email n'est jamais partagé. Les champs obligatoires sont notés : *

*
*