1 octobre

Fusion des iris dans le temps qui baigne
Les lois de tes os et le sacre
Des veinules que je trempe dans les réseaux
D’une fusion naturelle et nulle

Nous nous ennuyons
De n’aimer que ce qui disparait
Et entrons dans la misère des corps
Qui se joignent indéfiniment

On recherche un butin qui exaspère
Mais l’eau toujours tremble dans nos ires
Et les dents même ne savent autre chose
Que cette pâleur qui unit nos troubles

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