La route de fer

On me balançait de l’engrais, des jarres
Des occultes prémonitions
On me lançait des ordures et des bouts de métal
J’avançais si promptement
Tout en étant dans l’invective et la durée
Je cheminais sur la route du désastre
Mais qui, quels professionnels me harcelaient ainsi
Et déversaient des flots de métaux
Des engins coupants
Des dentelures d’acier
Des dents de scies acérées

J’avançais près du chemin de fer et le charbon
Le cuivre dominaient l’essence du paysage
C’étaient des senteurs de sécheresse
Et tout mourait

J’avançais, je devais atteindre mon objectif
Et la route s’épuiserait
Mais si dur encore était ce trajet

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