Je vois le diamant où les nerfs sont lacis
De vérités qui s’étendent sur la face ombragée
Le versant domine la pierre et ne sait
Qu’ombrager ses domaines mais
La lumière a le recul nécessaire pour ne jamais
Faire de nuages perpétuels
Sillonner la grande image réelle et nue
Seulement une
Seulement les clairs coteaux dissous
La synthèse et l’unique cri de la proie
Et du dominateur dans les airs si bien
Que les bêtes et les âmes s’embrassent
Dans la grande actualité des glaces
Et le chemin qui ne sait
Où est allé le ciel parsemé
De paisibles couleurs