Je n’ai pas réussi à enlacer ton rêve
Mon amour de la réminiscence était trop léger
Pour que l’envergure de ta haine me laisse
Percer et présager ce qu’il eût pu être
Rien à faire, dans les steppes où l’air est rare
Dans les rochers où l’on ne se désaltère
Je n’ai pas à m’étendre sur les sables
Tant que je ne pourrais à loisir
Pénétrer la vivacité et la grandeur
De ce qui n’a jamais été