Celui qui allait seul dans la plus grande
Des amandes terrestres a vu des paradis
Qui se sont mués peu à peu en la haine
Sauvage et déliquescente de ces paradis
Celui qui s’est pris dans le jeu du carton-pâte
A vu ses nerfs et ses synapses
Parfois devenir des clairières où le sens
Mangeait toutes les branches