Brouillons 08 /21

L’odeur acide du monde, dans le cyprès
Dans l’artère féodale, tu évites mes mains
Tu tranches sur la vitre ce qui était dans les sangs
De mon cerveau, tu broies ensuite le métal de mes tempes
Mes yeux sont si las de ne toucher la guirlande
Ils emmuraillent les restes de la prairie où j’ai bu
Des litres de bières, où j’étais dans le clair soleil
Et dans la verrière qui n’est plus

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