NOUR

Nour, mon eau de pluie
Je n’entends pas le silence
Les gouttes se fabriquent unes à unes
Et les perles sont la sueur et sont la peau du démon
Les sentences et les êtres déménagent
Vers un horizon où sont les malaises et les trames
Des forêts malsaines

Seuls les échos dans le fond
Et l’armature des cercles sont les silences
Lisses, et allant vers le plus profond des secrets
La paroi ultime où se polissent les verres
Les pensées se suspendent à une seule distance
Des grèves éternelles

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