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Manon, la poésie enflamme les vents
la poésie est une devanture
qui succède à tout précipité
tu es la maison nature
qui brasse les dénuées
les dénouements qui laissent leur place
au devant et au noir et blanc
dans la seule cage de l’artiste
et dans la page d’un mausolée
pourtant vivant ainsi que ses principes
et la terre où gisent les ossements
où sont les glaives qui réduisent
l’ossature à un dénouement
tu es le tranchant et la palme
qui laisse sur les devants l’irrésistible
empreinte.

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