Machines désirantes
nous sommes la courroie, l’hélice
mais lorsqu’approchent les animaux
les gueules dissoutes en nos chairs
le flair de ces bêtes secondent
l’opération de nos délices
nous voyons seulement comme le monde
sa terre et sa flore sont grands
et surtout s’il est loisible d’agrandir, encore
le labour qui nous travaille
sur ta grande table d’échiquier
ton jeu de sincérité colle chaque partie
tes narines et ton squelette
deviennent le mépris et la prise
où je règne