La musique d’Orianne

tu es sensuelle comme un prélude
ta peau nue me brûle
dans ce désir que j’ai eu de mourir
puis de naitre à nouveau
parmi d’autres paysages
des aigus ballotant
montant et toujours m’aventurer
dans des bonheurs où cette peau que je vois
constellée de grains
m’émerveille comme une brûlure
un lent essaim qui prend forme

c’est toi toujours que je vois
depuis que j’ai surpris un grand possible
dans la constellation de tes grains
j’ai vu ce prélude et ce sel
ce ballotement de sucre
ce transport qui me tient en éveil
même aux portes du malheur

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