éternité de la sentimentalité
quand meurent les fleuves de n’être
pas sertis par les trains et les eaux d’une fièvre
par le calme certain des cimes
et des tangentes qui circulent dans les crins
dans les arbres multiples aux branches de serins
sentimentalité de l’ozone
qui n’a rien à dire qu’un bain sincère
qui fusionne avec l’intelligence
prairie de proies qui s’expriment
dans le chemin tortueux de la vie

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