Bien joué petit malin.

En vérité Jésus n’a pas souffert du supplice de la croix, à part certes au début quand il s’est fait clouer et torturer. Mais saviez-vous que le supplice de la croix, qui était vraiment pratiqué jadis, durait un temps très long et faisait descendre les organes progressivement vers le bas du corps ? Ce qui était un supplice horrible, en plus de la soif et de la faim. Or Jésus n’en a pas souffert et est mort rapidement en prononçant les paroles « maintenant je meurs » selon sa propre volonté. Une fois de plus il a vaincu.

La religion est uniquement de l’arrogance.

Le sens et la déréliction.

Seule une personne qui n’a aucun sens à sa vie sera travaillée par l’idée du sens et travaillera les autres avec cette idée. Le sens est un don et une personne hautement pourvue en sens ne se posera jamais la question du sens, car tout a un sens pour elle, même dans la dépression ou le malheur. Mais le travaillé du sens, l’homme vide, qui communique son vide, est parfois condamné à ne jamais trouver de sens. D’où son désir d’obtenir, quand bien même il serait un monstre ou un reptile, à défaut de pouvoir être et de trouver la paix. Cette âme errante, à la recherche du sens qu’il n’obtiendra jamais – il est né ainsi – et qu’il perdra toujours plus malgré ses obtentions, ce condamné vit donc par procuration, et recherche uniquement pour obtenir. Il tentera d’approcher des concepts qui lui sont étrangers, et jalousera ceux pour qui la vie est naturelle, même dans la souffrance. Cela pourra être imperceptible pour le profane, mais il est une vérité sacrée que l’absence de sens recherche la sacralisation, car elle n’y voit rien en ce monde que des brumes et des formes qu’elle convoite. Son sens déprécié pourra conduire le monde à sa perte, le monde qui l’a suivie dans sa quête insensée de sens, et si ce monde est devenu insensé à son tour, il pourra la suivre dans on erreur, ou se retrouver dans son absurdité.

Rien ne dérange plus une civilisation qu’une personne sans masque.

Vous vous êtes trompés : Dieu, c’est Francis Heaulme.

Il ne croit strictement en rien, mais en rien de l’au-delà et de l’ésotérisme. C’est un matérialiste absolu avec un petit enrobage parfois. Et pour cause il a une peur surhumaine de l’ésotérisme, c’est vous dire à quel point il n’est pas un élu et totalement étranger à la religion. L’au-delà nécessite une immense position du soi face à l’universel, l’étrangeté au moi qui n’y a pas accès, mais a peur de ses propres limites. Il y reste confiné sans jamais pouvoir sortir de ses barrières. Son confort dans ses limites est renfermé, sans perceptives, arrogant. Le soi est ce qui permet l’ouverture à l’au-delà, à l’invisible, à l’infini. Il est parfois une épreuve, salvatrice, pleine et entière. Le moi s’y positionne pour y donner sa poétique particulière avec son expérience, qui se renouvelle souvent. Le soi seulement pourrait donner accès à une religion véritable, si tel était son désir, encore que le moi y interviendrait trop souvent, mais moins que dans la religion du moi. Le soi pur est cette immanence de l’infini, cette transcendance du récit et de l’au-delà. L’au-delà n’est pas un objectif, il est une présence, ou bien encore un accident. Il est jeune à toutes épreuves, parfois la projection dans un autre corps. Mais le corps de celui qui est transporté dans l’au-delà reste pur également bien qu’il puisse être affecté, il ne recherche pas la perfidie et la souillure, il tolère son prochain, les autres corps. Un caractère divin entrerait en relation avec ces deux corps parallèles, celui du transporté et le transporté.

Votre petit jeu d’enfants puérils ne restera impuni, vous pouvez en être certain.es. Vous avez le droit d’être nécrophiles, mais j’ai la vie et la connaissance avec moi. Et j’aimerais juste que vous cessiez une seule seconde de croire de croire qu’il y a autre chose que de l’égo derrière tout cela de votre part, et je m’adresse particulièrement aux femmes à l’enveloppe charnelle sensible, j’ai bien dit l’enveloppe charnelle hein. N’oubliez pas que je n’ai pas encore réagi à votre jeu puéril.

Comme vous voulez.

Le mal qui m’a été fait – et je vais très bien – risque d’être équivalent à la troisième guerre mondiale que je risque de provoquer, selon les vœux du créateur. Je m’en lave les mains et vous mets face à vos responsabilités. Et je vous le répète : je suis d’un calme démesuré du matin au soir, vous pouvez le voir sur les vidéos (pas celles que je fais).

Du savoir vivre basique.

Il faut bien que vous ayez conscience que si vous commettez des actes d’abjections nécrophiliques, cela ira contre vous. L’ordure et l’abjection ne doivent pas avoir raison de ce qui vaut la peine d’être vécu. Une nécrose ne doit pas prendre le relais du calice. La vie est plus forte que la mort ! Et quand il ne reste que l’ordure et l’excrément, il ne faut être tenté d’y poser ses lèvres, mais s’en débarrasser dans les immondices.

Visage.

Eh oui Samah certaines femmes ont un visage évocateur, poétique. Tu connais sûrement la rime visage / paysage, eh oui certaines femmes sont à exemplaire unique, on les reconnait tout de suite (il y en a d’autres comme toi). Mais je ne voudrais surtout pas standardiser le visage évocateur et poétique, mais diable cela serait-il possible aussi ? Alors oui le visage évocateur est un paysage qu’on peut modeler à sa guise, ce n’est pas juste un désir libidinal. Tu veux que j’écrive un poème sur toi ? Il y en a d’autres comme cela, on dirait que leur visage tire vers des éléments naturels, sans cesse. Tu crois qu’il y a une morale derrière ? En fait non je ne pense vraiment pas. La nature est amorale ? Certaines fille stéréotypées sont plus morales et normales. Je ne dirais pas que ton visage est étrange, mais évocateur, et studieux (car oui tu travailles). Voilà, c’est un peu toujours pareil. Les propos répondent au visage. Et moi il est comment mon visage ?