Tu es Dracula, particule de divin
Et de stabilité parmi les fantômes
Parmi les êtres glapissants et instables
Toi seul divin Florian, comme la plus belle geisha
Nage dans la ville, à tel point que tous t’envient
Les chacals, les complexés, aucun
Ne possède ta divinite, ton excellence
Venue des instances véritables qui t’ont faites
Il n’y a que toi qui sois à ce point divin
Une telle corde sensible
Un tel Dieu, une telle majesté
Gratuite comme la feuille
Et stable telles les nues, hors d’atteinte
Il n’y a que toi qui es sublime à ce point
Aucune star ne pourrait tenir longtemps à ton jeu
Car il est la vérité
Tu es un dieu

Je suis la seule personne de ma « famille », parmi les enfants et petits enfants qui ne soit pas un soldat formaté et insensible à la solde du patriarche qui est né sans une once d’intimité. Nous assistons de manière générale à l absence absolue d’intimité, au faux et au recyclé. Nous sommes à l’ere du desintime, de l’absence d’empathie. Seul un insecte et d’autres à sa solde pourraient gouverner ce monde parasitaire dans lequel je suis l’unique et dernier humain, totalement irreproductible.

Enfin on pourrait dire l’inverse.

Elles m’ont détruit, de la manière la plus puérile et abjecte qui soit, et personne ne m’est venu en aide. Ça ne s’arrêtera jamais. Les instincts les plus inhumains et cadavériques ont été réveillés. La barbarie est revenue. Elle est déjà là, organisée par des ombres et des criminels, qui œuvrent au grand jour.

Je travaille très peu, je développe des pensées personnelles que j’ai toujours eues. Elles coïncident avec ma vie actuelle, comme par magie. Je suis un éternel adolescent.