Ci-git la loi.

Si vous voulez que je leche vos semelles gratuitement pour les débarrasser de leur saleté, surtout n’hésitez pas à venir chez moi, j’essaierais de ne pas trop vous déranger. Sinon je pense que vous devriez me mettre dans un zoo ce serait plus simple pour vous et je coûterais moins cher à l’état. On pourrait me voir à l’air libre et me jeter des quignons de pain. Pourquoi vous ne me mettez pas dans un zoo à côté des macaques ?

Je suis quasiment sûr que j’aurais réussi ma vie dans un autre pays que la France. J’ai quand même de bonnes connaissances intuitives. Je rêve de franchir les frontières et de m’installer ailleurs depuis de nombreuses années. Est-ce qu’un autre pays civilisé et moderne pourrait m’accueillir chez lui ? Je lui serai utile et chanterai ses terroirs.

L’un des aspects particulièrement malsain de cette saloperie et cette putasserie qui m’est faite, est la récupération par le sentiment qu’il y a ou aurait derrière. Cette putasserie en devient d’autant plus malsaine qu’elle infecte des régions de l’esprit qui ne le devrait pas. C’est là son caractère inédit dans mon cas. Elle a été calculée de telle sorte qu’une telle saloperie puisse porter un coup fatal à l’humanité.

Ce qu’il n’y a de plus beau dans l’honneur, et qui est sa plus subtile véracité, c’est quand il ne dépend d’aucune victoire extérieure, quand il ne répond pas à la saleté par la saleté, à la saloperie par la saloperie.

Je ne considère aucun éventuel enfant qui serait issu de moi comme le mien. J’ai toujours attaché peu d’importance aux liens du sang et les reconnais encore moins, voire clairement en rien dans ce cas de figure. Leur avenir m’indiffère absolument et je ne leur souhaite rien.

C’est surprenant mais contrairement aux autres, je n’ai jamais été attaché à la liberté, je n’y ai jamais cru. Ce vocable n’a jamais fait partie de mon lexique personnel. Il doit y avoir une raison et un sens à cela.

🤭🤭🤭

Le pervers narcissique, qui est un petit rat hideux et une coquille vide, joue de son absence absolue d’intériorite et d’intimité pour pouvoir générer toutes sortes de sentiments. Moche comme un pou, ce pet foireux utilise son vide absolu pour manipuler les autres.

Je sais que la plupart des gens qui me regardent et me lisent sont des gens bien.

Il cache et transmute le laid en beau, produisant des œuvres grossières. L’intimité du peuple est reconduite vers un cynisme où il laisse libre cours aux carences de toutes sortes qu’il a subies. Il devient violeur. Il viole l’interdit qu’il a subi. Ses victimes sont sans défenses, leur douleur est sa joie. Cette liesse populaire pourtant s enorgueullit de valeurs qu elle pense lui revenir de droit. Car le droit a été fixé par les autorités pour assouvir le peuple qui marche à sa solde et devient citoyen honorable, agissant pour le bien et punissant le mal.

Plus l’abîme s’ouvre à lui, plus le peuple lui ouvre les bras. Sa tendance suicidaire s exalte dans un érotisme du péril et le crime répond de son désir. Il veut en finir avec les anciennes valeurs, ne sachant rien pour autant des nouvelles qu’il dispose. Le peuple chancelle, s’extasie du cataclysme à venir. Il ne recônnait plus les siens, ni ses ancêtres. Le délire le stimule à accomplir le mal. Il ne reconnaît pas même la douleur qu’il suscite et la laideur où il s’engouffre. Il n’a plus la force de se remmettre de ce qu’il accomplit, sauf à le banaliser, et ainsi prend des forces pour mener son projet à bien.